Le 08/07/2025

Lundi vers 15h40, une alarme incendie retentit. Elle est située dans le local ELSP.
Directement, la gradée infra va faire une levée de doute…

Il n’y a pas de feu, mais 3 personnels sont enfermés dans l’armurerie sans aucune possibilité de l’ouvrir, la serrure étant complètement bloquée.

En effet, vers 14h, alors que les agents ELSP se déséquipent suite à une extraction médicale, ils se retrouvent bloqués, la porte ne voulant plus se déverrouiller. Ils tentent alors le tout pour le tout en faisant de grand geste et en écrivant des mots de SOS sur des papiers à la caméra donnant sur le PCI… Rien n’y fait. Il finissent par avoir l’idée de déclencher l’alarme incendie, idée de génie car c’est ce qui permet de les localiser.

La gradée infra reste avec eux, trouve un moyen de leur fournir de l’eau en attendant de trouver une solution pour les sortir de là. La maintenance finira par dégonder la porte sécurisée, tant bien que mal et taper sur la serrure pour débloquer le tout sur un coup de chance. Fin d’intervention pour libérer les collègues : il est 18H !

L’UFAP UNSa Justice félicite les 3 collègues pour leur calme et leur sang froid.

L’UFAP UNSa Justice exige que la biométrie soit installée sur la porte pleine plutôt que sur la grille de SAS.

L’UFAP UNSa Justice exige qu’un bouton d’alarme (avec communication) soit mis en place dans les plus brefs délais dans l’armurerie, et relié au PCI.

Au passage, L’UFAP UNSa Justice s’inquiète du fait qu’un agent puisse réintégrer son arme seul dans le coffre collectif, sans le couvert d’un gradé lors des retours tardifs.

Pour Le bureau Local
CADET Annabelle